En dépit de l’adversité ambiante, des mensonges et fake news propagés sur eux, Mama Libanais, Mama Lah et Mama Yattassaye, trois jeunes opérateurs économiques évoluant dans le secteur des hydrocarbures, continuent de faire leur petit bonhomme de chemin.
«Aux ames bien nées, la valeurs n’attend point le nombre des années » a-t-on coutume de dire. L’adage sied parfaitement à Mama Libanais, Mama Lah et Mama Yattassaye qui, malgré leur jeune âge, s’affirment chaque jour un peu plus comme les véritables magnats du carburant au Mali.
Alors que le secteur est bondé de gens plus expérimentés et qui ne se font guère de cadeaux, Mama Libanais, Mama Lah et Mama Yattassaye raflent des parts importantes du marché au grand dam de leurs concurrents. Toute chose qui prouve leur sérieux, leur pugnacité et surtout leur sens élevé des affaires.
Mais comme toute médaille, le succès aussi a son revers. Incapables de détrôner ces jeunes gens à la fleur de l’âge, d’aucuns n’ont visiblement trouvé rien de mieux que le mensonge, la délation et la diffamation pour tenter de les abattre en plein vol ou à défaut d’obstruer leur phase ascendante. Aussi l’affaire dite du vol du carburant de l’Energie du Mali (EDM-SA), révélée par la ministre de l’Energie et de l’Eau, Mme Bintou Camara, pour expliquer le délestage sauvage auquel cette entreprise soumet tout notre peuple ces temps-ci était-elle pain béni pour les adversaires des jeunes Diawando pour ternir leur image de marque et porter atteinte à leur honorabilité.
Il n’en est rien en réalité. Bien au contraire, ils sont clairs comme l’eau de roche et carburent plutôt au halal. Autrement dit, ils n’ont jamais été mêlés ni de près ni de loin à un quelconque fait ou comportement pouvant porter atteinte au crédit de l’Etat dont ils respectent scrupuleusement les lois, ordonnances, décrets et arrêtés…
Grandeur d’âme
Aussi, malgré la persistance dans l’erreur de leurs adversaires, ils sont blancs comme neige. D’ailleurs, l’entreprise publique concernée leur doit une fière chandelle parce qu’ils ont toujours honoré leur part du contrat à son égard. Pouvait-il d’ailleurs en être autrement pour ces jeunes gens qu’on pourrait considérer comme faisant partie de la génération consciente du pays sans risque d’être démenti ? La réponse est non.
Bien qu’issus de milieux riches pour la plupart, nos trois jeunes gens exemplaires ont engagé le pari de gagner à la sueur de leur front quand bien même ils pouvaient se contenter de situations de rentes.
Au lieu d’une vie tranquille loin du tumulte bamakois, ils ont plutôt opté pour le travail libérateur qui ennoblit l’homme ; pour la prospérité partagée grâce à la création de plusieurs centaines d’emplois (résorbant du coup une partie du chômage des jeunes), pour la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), pour l’assistance sociale, pour les dons et libéralités.
Ce faisant, ils voulaient rappeler à leurs compatriotes tentés par la traversée aléatoire de la Méditerranée que la réalisation du rêve américain est bien possible au Mali. A condition de se ceindre la taille et d’aller au charbon, tout en respectant le cadre réglementaire et légal.
Qui a alors intérêt à décourager, voire abattre de tels jeunes battants au patriotisme avéré ? Là aussi la réponse est toute simple : ce sont les ennemis des réussites individuelles, du progrès social, de la nation qui agissent de la sorte et se trahissent eux-mêmes. Il appartient à l’Etat d’encourager, encadrer et protéger les opérateurs économiques les plus talentueux et les plus imaginatifs comme Mama Libanais, Mama Lah et Mama Yattassaye, créer les conditions de la saine émulation en vue d’accélérer le développement économique, social et culturel du pays.
La baraka aidant, nos trois jeunes opérateurs économiques n’ont manifestement pas dit leur dernier mot. Loin s’en faut.
La Rédaction